SOMMAIRE
Sommaire n° 78
Page 1 : POURQUOI ? JPL
Page 2/4 : Marc DELOUZE
Page 5/12 : Mykola ISTYN
Page 13 : Sylvain FABRE COURSAC
Page 14/16 : Christine LAROQUE
Page 17/19 : Morgan RIET
Page 12/14 : Jean-Michel BONGIRAUD
Page 21/23 : Claude ABARÈDE
Page 24/27 : Faustin SULLIVAN
Page 28: Émilie NOTARD
Page 29 : Pierre MÉLENDEZ
Page 30/31 : Marcel FAURE
Page 32/33 : Camille BESNARD
Page 34/35 : Daniel BIRNBAUM
Page 36 : Jacques BONNEFON
Page 37 : Hélène DECOIN
Page 38/39 : Éric DÉSORDRE
Page : 40/41 : Muriel SENDELAIRE
Page 42/43 : Line SZÖLLÖSI
Page 44: Bénédicte LEFEUVRE
Page 45 : Vincent CADET
Page 46/ 48 : Fabienne ALLIOT
Page 49 : Bernard PICAVET
Page 50/51 : Mireille PODCHLEBNIK
Page 52/53 : Luc ALDRIC
Page 54 : KIKO
Page 55 : Jean-Marc COUVÉ
Page 56/57 : Basile ROUCHIN
Page 58/59 : ALAIN JEAN MACÉ
Page 60/61 : Pierre MIRONER
Page 62/64 : SHARON
Page 65/67 : CARTES LÉGENDÉES
Page 68 : Mélanie CARON
Page 69 : Françoise GEIER
Page 70/71 : Stéphane JUGLET
Page 72/73 : Catherine ANDRIEU
Page 74 / Armand SEGURA
Page 75 : Michèle CAUSSAT
Page 76/77 : Jean -Pierre LESIEUR
Page 78/79 : Rosy REINER
Page 80/88 : Jean-Pierre LESIEUR/Jean CHATARD
Page 82/83 : Mireille PODCHLEBNIK
éditorial
Pourquoi n’aimez-vous pas la poésie ?
Et pourquoi les gens en général ne font aucun effort pour aimez la poésie?
Quand on est poète, ou du moins quand on croit écrire de la poésie, il est normal de se poser la question.
J’avoue ne pas avoir de réponse pertinente. Et vous poète qui me lisez, qu’en pensez-vous?
Cela ne vous perturbe pas d’écrire des lignes et des lignes de mots qui ne se lisent pas dès qu’on dit que c’est de la poésie ?
Cela ne vous perturbe pas de faire publier des livres de poèmes qui restent confinés dans des placards, des soupentes, des garde livres, des culs de basse fosse et autres pilons ?
Curieuse pratique que celle-ci et qui trouve encore ses adeptes dans le monde des lettres, s’il existe encore et s’il est en pleine expansion, ce dont je doute.
Alors une autre question me vient, est-ce que la poésie ne va pas disparaître corps et biens, dans le grand maelstrom de la connerie médiatico-internetico ambiante?
Et la marchandisation de la société mondiale ne va-t-elle pas avoir raison de la belle poésie telle que nous l’aimons, la vivons et la créons, encore en toute innocence?
J’en étais là de mes questionnements après avoir mis sur mon ordinateur préféré, les 80 pages et quelques de ce numéro 78 de comme en poésie que je fabrique au fond de ma fabrique au poème, devant laquelle les gens passent sans même un regard.